" Arbeit Macht Frei ! ", hurle Macron avec un accent à couper au (long) couteau

 " Ce n'est pas la foi qui rend heureux, pas la foi en des curetons égoïstes et nobles, mais c'est le travail qui rend heureux, car le travail rend libre. Ce n'est ni protestant ou catholique, ni allemand ou chrétien, ni libéral ou servile, c'est une loi générale de l'humanité et la condition sine qua non de toute vie et aspiration, de tout bonheur et accomplissement " Heinrich Beta *

" L'homme n'est pas fait pour travailler et la preuve, c'est que ça le fatigue ! "  Tristan Bernard

 Mårten Eskil Winge   " Thor " 

"Arbeit macht frei" : "Le travail rend libre ". On ne change pas une formule qui marchait du tonnerre de Thor, apposée sur les frontons des ludiques camps de vacances (gratuits, avec aller simple) au temps du IIIe Reich ! (On la retrouve également au fronton de certains goulags.)

Sous le IVe Reich, cette devise a prodigieusement repris du poil de la Bête. (Plutôt que parler d'un IVe Reich, d'aucuns affirment que l'Europe est une entité néo-soviétique. Voir plus bas.) C'est tout de même autre chose que "Métro ; Boulot ; Dodo ", de Pierre Béarn qui, dans un poème faisant partie intégrante d'un recueil intitulé "Couleurs d'usine", inventera la sentence reprise par les soixante-huitards.

Maintenant une explication pour le IVe Reich. Vous ignoriez son existence ? Pourtant, il a vu le jour en 1944. En Allemagne. A Berlin. Alors même que le IIIe entamait tout juste son crépuscule (Voir plus bas). Aujourd'hui, on peut, en sus de l'Allemagne, considérer que le IVe, correspond à l'Europe de Maastricht. Mais pourquoi donc je vous parle de ça ? J'y viens.

De par cette "pandémie" qui commence à furieusement s'apparenter à une "effroyable imposture", une farce, une exécrable tragi-comédie, un fallacieux prétexte pour vous priver définitivement de votre liberté de penser, d'agir, de bouger, de respirer, de vous divertir, de vous instruire, de fréquenter qui vous le souhaitez, il ne vous reste plus qu'une seule chose à faire - je m'adresse aux actifs qui le peuvent encore : travailler, travailler, travailler, et rien d'autre !

Luca Palazzi (2008)

Mais où ? Ben, travailler au bureau, travailler chez vous, travailler sur un banc, ou encore travailler sur un rond-point - dans ce dernier cas, c'est possible, la place est libre, le Gouvernement, aidé par les Syndicats et les Politiques, ayant éradiqué les Gilets Jaunes ! Il faut travailler, travailler, travailler, et surtout, vite rentrer chez soi, parce que couvre-feu oblige ! Certes, tout le monde ne travaille pas : les restaurateurs, les cafetiers, les artistes, les cinémas, les retraités, les chômeurs, etc.

Verdict : ces derniers ne sont pas libres, sauf dans un créneau horaire strict imposé par une poignée de jacobins, non élus, qui outrepassent le Parlement, à l'instar des dictatures ou des républiques bananières. Vous me direz, le Parlement (Sénat et Assemblée Nationale), de nos jours, ressemble à s'y méprendre à un repaire de godillots, de carriéristes, d'opportunistes, de jean-foutre, en un mot en un cent, à des escrocs, alors pourquoi s'enquiquiner à les consulter ?

Hector De La Vallée

Mais alors, vous allez me dire, « travailler d’accord, mais si on veut être libres 24 h sur 24, il faudrait travailler… 24 h sur 24 ! » Ca tombe bien, il faut reconstruire le pays. Il faut rembourser la dette. Il faut surtout que vous soyez très occupés pour foutre la paix à vos maîtres néo nationaux-socialistes dont Macron se réclame ! (Ce sont les journaputes qui disent qu'il est socialo, mais lui même l'a affirmé... puis, s'est rétracté. Voir plus bas.) Ce n’est pas circulez, il n’y a rien à voir, c’est travaillez… si vous voulez rester libres... et utiles pour le Nouvel Ordre Mondial !

Et puis, au diable le IVe Reich, le néo-soviétisme, ou autre inhumanité ! Vive Marguerite Duras avec cet aphorisme implacable : " Ce monde est pourri, qu'il aille à sa perte ! ". Prenons plutôt exemple sur Gauvain dans Kaamelott : " Moi, je m'en fous, si on me force à y retourner, je retiens ma respiration jusqu'à ce qu'on arrête de me forcer à y retourner. "

Lino Borsa

* Heirich Beta, " Le travail rend libre ", " dans Argent et esprit (Geld und Geist) ", 1845. Expression reprise en 1873 par Lorenz Diefenbach ; en 1920 par Auguste Forel ; en 1928 par la République de Weimar  ; en 1933 par le NSDAP.  

 

Les fondateurs de l’Union Européenne : des nazis et des collabos ...

L'Union européenne telle qu'elle existe aujourd'hui est une émanation de l'idéal nazi d'une Europe pan-germanique. Si l'histoire récente a été réécrite la situation est revenue à la case départ comme vous allez le découvrir. Ce billet est largement inspiré d'un article du journaliste Wayne Madsen paru sur le site de Strategic Culture Foundation ( www.strategic-culture.org...

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Emmanuel Macron a-t-il vraiment déjà dit qu'il était socialiste ?

Question posée par le 16/04/2018 Bonjour, Pour vous répondre rapidement: oui, Emmanuel Macron a déjà dit qu'il était socialiste. C'était en décembre 2014. Moins de quatre mois après son arrivée à Bercy, le ministre de l'Economie s'exprime devant des dirigeants d'entreprises à l'occasion d'un sommet organisé par Challenges et répète pas moins de quatre fois qu'il est "socialiste".

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« J'ai vécu dans votre futur, et ça n'a pas marché »

https://www.youtube.com/watch?v=7Ze5ZmpTSqk L'Union européenne : la nouvelle Union soviétique Il est étonnant qu'après avoir enterré un monstre, l'URSS, on en construise un tout autre semblable, l'Union Européenne. Qu'est-ce, au juste, que l'Union Européenne ? Nous le saurons peut-être en examinant sa version soviétique. L'URSS était gouvernée par quinze personnes non-élues qui se cooptaient mutuellement et n'avaient à répondre...

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