Mélenchon ou le Coup d'Etat imminent
" Du visage, on ne distinguait d'abord que les trous des narines : un nez outrecuidant, dressé au milieu d'une face blanche et grasse de compère de revue. " Roger Martin du Gard
Pendant la pseudo-campagne Présidentielle française 2022, c'était à celui qui chausserait ses plus gros sabots afin de nous mettre en garde de l'arrivée imminente d'un très hypothétique régime fasciste ou d'une très invraisemblable guerre civile, via Marine le Pen et Eric Zemmour.
Aujourd'hui, il est un fascisme bien réel celui-là, dont personne ne parle, surtout pas les médias. Nous voulons parler du fascisme de gauche, le vrai, l'authentique et historique fascisme de gauche, institutionnalisé en Italie dès 1922 sous Mussolini, avec la "Sinistra Fascista", la Gauche Fasciste.
Pour autant, Zeev Sternhell considère qu'il serait apparu en France entre 1880 et 1914, par " la conjonction entre une radicalisation antidémocratique de certains mouvements d'extrême-gauche, tel le syndicalisme révolutionnaire, avec une nouvelle droite nationaliste, formant la droite révolutionnaire." Cela expliquerait-il que les programmes de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon soient équivalents à 75 % ?
De nos jours, le fascisme ne déroge pas aux dogmes de ceux d'hier : culte du grand homme, quête du soutien populaire, refonte du corps social avec l'appui d'une nouvelle bourgeoisie affairiste, brutale, sans limite, sans scrupule.
Deux hommes incarnent le fascisme de gauche : les socialistes Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Ils l'ignorent ou feignent de l'ignorer, mais ils sont les descendants avérés de socialistes de la première heure : Benito Mussolini et Adolf Hitler, eux-mêmes héritiers du "socialisme réel" ou "développé", autrement dit le communisme.
On le sait, le socialisme engendrera les pires dictatures - communisme, fascisme, nazisme - et les pires massacres - + 200 millions de morts, hors guerres ! - que le monde aura connu, tout du moins à ce jour. Parce que le pire est toujours possible.
Bien évidemment, comparés aux Lénine, Trotski, Staline, Mussolini, ou Hitler, Macron et Mélenchon sont des petits bras. Oui, mais des petits bras socialistes. L'un et l'autre jurent leurs grands dieux qu'ils ne veulent que notre bien. Notre bien... ou le leur ? Ou encore celui de leurs chers amis ? "L'Enfer est pavé de bonnes intentions", dit-on. Encore une fois, l'adage pointe juste.
Macron et Mélenchon se complètent idéalement. Le premier entreprend la destruction de la France en partant du haut (institutions, services publics, industrie, invasion migratoire, culture, langue française, patrimoine) ; quand le deuxième (secondé par les racialistes, les indigénistes) la sape en partant du bas (ostracisation des français de souche, surtout s'ils sont blancs et... chrétiens ("éradication de la race blanche par la créolisation, haine des blonds aux yeux bleus) ; communautarisme ; multiculturalisme ; promotion des mosquées où est enseignée la haine des femmes, des chrétiens, des juifs ; infiltration et prise de contrôle des mouvances d'extrême-gauche ou prétendues écologistes par les islamistes, etc.
Rappelez-vous. On ne voulait ni du "fascisme" version Le Pen, ni de la "guerre civile" version Zemmour. Eh bien, avec Mélenchon, nous aurons les deux ! Et Macron, tel le Maréchal en son temps, fera semblant de nous sauver du chaos avec sa Révolution Nationale 2.0, appuyée par une dictature faisant passer celle imaginée par George Orwell, et consorts, pour une dictature d'opérette.
Montesquieu disait : " J’aime bien les paysans : ils ne sont pas assez intelligents pour raisonner de travers. " Mélenchon aime bien les "gens" ; traduire par la populace, la piétaille, les gueux, les beaufs, les Gilets Jaunes, parce qu'ils ne sont pas assez intelligents pour réaliser à quel point, ce factieux, admirateur de Robespierre, et des dictateurs actuels (pas d'opérette, ceux-là), les roule dans la farine.
Benedict Saint-Patrick
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Le dernier prix Goncourt a été accordé au roman L'Anomalie. On sait bien, évidemment, que Jean-Luc Mélenchon n'en est pas le héros. Mais le titre lui sied parfaitement. Ce personnage apparemment désarticulé qui s'agite dans le paysage politique français, secoué de colères frénétiques et de rages baveuses, paraît trop déglingué pour être vrai.
https://fr.irefeurope.org
Jean-Luc Mélenchon veut persuader la gauche qu'il est " le vote utile " qui permettra à son camp d'accéder au second tour de l'élection présidentielle.
https://www.revuedesdeuxmondes.fr
Mélenchon est tant raciste que révisionniste. (Voilà qui est saugrenu quand on est Franc-Maçon !) Il n'aime pas les "Boches" ! Y compris les "Boches" Juifs ?
" (...) " ces teutons coupables d'être "des chimistes", des "pollueurs" amateurs de "grosses bagnoles". Bref, un "poison de l'Europe (...)."
Il n'aime pas également les habitants du Pays de Caux en Normandie, (...) des alcooliques épouvantables ! (sic)
Un droit de réponse de Jean-Luc Mélenchon figure à la fin de cet article*. La scène se passe début décembre dans les couloirs de L'Express. Après un débat tendu mais finalement fructueux avec le philosophe Raphaël Enthoven, Jean-Luc Mélenchon se laisse aller à quelques confidences.
https://www.lexpress.fr
Tablinum de la Maison du Poète Tragique, 1er Siècle Avez-vous vu remarqué, ce 1er Mai, dans les rues de Caen, ces manifestants (2000, source officielle) fiers comme Artaban, parce qu'ils ont courageusement "fait barrage" le 24 avril dernier à la présupposée extrême-droite, offrant à nouveau le pouvoir à un Macron plus que jamais spécieux ?
http://drakkarfuribard.canalblog.com
" (...) Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête ; ils adorèrent la bête, en disant : Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ? Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes ; et il lui fut donné le pouvoir d'agir pendant quarante-deux mois.
http://drakkarfuribard.canalblog.com