" La véracité est le devoir formel de l'homme envers chacun, quel que grave inconvénient qu'il en puisse résulter pour lui ou pour un autre. " Emmanuel Kant
Chronique d'un effondrement annoncé
L'Etat français, comme bien d'autres Etats, surtout Occidentaux, est miné - parce qu'il est faible ! - par un ennemi de l'intérieur, incarné par une minorité terroriste, ultra-gauchisée, abreuvée de spécisme et de racialisme, combinée majoritairement de fils de riches ou de bobos cyniques.
Incultes, mentalement dérangés et belliqueux, ces factieux tentent d'anéantir, par la violence, le mensonge, la réécriture de l'Histoire (nous, nous disons carrément le révisionnisme, voire le négationnisme !), notre pays et ses institutions, ainsi que nos sacro-saintes libertés d'opinion et d'expression, héritées des Lumières et de la Révolution.
Les medias, aux ordres d'officines occultes, leur font scandaleusement écho, pire, leur donnent raison. Par lâcheté. Par clientélisme. Par idélogie. Heureusement, des voix s'élèvent contre cet état de fait.
Seulement, elles sont calomniées, taxées de complotisme, de fascisme. Ce qui conforte notre idée d'inculture crasse : le fascisme, le nazisme, ayant, pour faire court, comme fondement commun le... socialisme (idem pour le communisme) !
Nous sommes vraiment pris pour ce que l'on n'est pas. Comme le disait malicieusement Georges Courteline : " passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet ". Seulement là, on nous fait avaler des couleuvres.
Il faut que cela cesse, sinon c'est le chaos, ou, bien plus grave encore, la disparition de la République Française, déjà fortement molestée par l'Europe de Bruxelles ! Lino Borsa
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Même s'il commence à quelque peu radoter, débutons par Jean-François Kahn : « Ce sont les turpitudes, les oppressions et les trahisons de la droite qui grossirent après guerre les rangs de l'extrême gauche, aujourd'hui, c'est le terrorisme intellectuel d'une certaine gauche bourgeoise et bien-pensante, cette insupportable tendance à criminaliser le moindre écart, à diaboliser la moindre sortie de route, cette chasse obsessionnelle à la petite phrase incorrecte. »
Enchaînons avec Alain Finkielkraut qui considère que la bien-pensance « cache tout ce qu'on n'a pas le droit de savoir (...) La « bien-pensance ne résoudra pas les problèmes, notamment ceux liés à l'école et à la mixité sociale (...) Si tant de gens, souvent immigrés eux-mêmes, fuient la banlieue, c'est pour que leurs enfants puissent aller dans une école où le principal objectif des professeurs soit d'enseigner leur discipline et non de tenir leur classe. Cela, tout le monde le sait. Ce n'est pas en dissimulant la réalité sous le voile de la bien-pensance qu'on résoudra les problèmes. »
Ou encore Yvan Rifouol, essayiste et journaliste au Figaro, qui dénonce" le despotisme du bien-pensisme, porté à son apex par la gauche qui en paye aujourd'hui les abus et les erreurs, ayant contribué au déclin de la France ", et qui s'en prend à
Stéphane Hessel " l'onctueux pape du bien-pensisme ", qui lui tape sur les nerfs (et les nôtres).
Que nous dit Caroline Castets, du Nouvel Economiste ? « L'un des principaux problèmes suscités par le rouleau compresseur de la bonne conscience tient au fait qu'il invite à ne plus réfléchir. Ou du moins à ne plus s'interroger face à des vérités préétablies... Ce que risquent les réfractaires ? Au mieux de voir leur parole discréditée, au pire, d'être purement et simplement inaudibles... Or le mécanisme de découverte de l'opinion dépend de cette liberté d'expression que l'on ne cesse de réduire au nom des grands principes républicains. »
Quant au sociologue Raymond Boudon, il se répand « contre l’idée reçue qui tend à imputer le politiquement correct à la tyrannie de la majorité, il résulte en réalité plutôt de la tyrannie des minorités. On le vérifie à ce que, sur bien des sujets, le politiquement correct heurte en réalité l’opinion. Car il est le fait davantage de minorités actives et de groupes d’influence que de l’opinion elle-même. »
Le géographe Christophe Guilluy considère que le politiquement correct est avant tout " une arme de classe très efficace contre l'ancienne classe moyenne. Cette novlangue serait d'abord " un instrument de domination, la mise en avant des minorités offrant une caution sociale à un système qui exclut la majorité des classes populaires. "
Pour le philosophe Dominique Lecourt, « le politiquement correct est une rhétorique de dissuasion, un moyen d'intimidation qui laisse penser qu'il existerait une pensée unique, une voie droite par rapport à laquelle nous devrions tous être jugés ». Il est devenu par le biais de lois dites antiracistes ou mémorielles un instrument de conquête du pouvoir utilisé par des minorités actives bien organisées qui répandent leur conformisme propre, souvent de tonalité religieuse ».
Notre philosophe Normand Michel Onfray lui emboîte le pas : « Il y a un politiquement correct aujourd'hui. On peut tirer sur le catholicisme mais on ne peut pas toucher à l'islam ou au judaïsme. Dire la vérité sur l'islam, c'est passer pour un islamophobe", en ajoutant : « les textes musulmans étaient violents. »
L’historien et philosophe américain, Jacques Barzun, enfonce le clou : « Pour ses détracteurs, le politiquement correct met ainsi en place un carcan intellectuel que toute expression d'une opinion doit accepter, imposant en fin de compte d'adopter un ensemble d'idées. Le politiquement correct ne proclame pas la tolérance ; il ne fait qu'organiser la haine. »
Un qui nous a quitté, et dont on ne parle plus, Jean Dutourd : « un homme politiquement correct est un homme qui tient pour bienfaisante, incontestable, irréfutable, et pour tout dire obligatoire, une certaine philosophie politique qui, extérieurement, a l'air d'être le fruit de la morale, de la tolérance, de l'humanitarisme, du progressisme, de l'égalité, de l'esprit démocratique, alors qu'elle n'est en réalité que l'expression la plus autoritaire du conformisme international, lequel, sous couleur d'idéalisme, peut se livrer à un pragmatisme effréné qui ne recule pas à l'occasion devant le crime. »
Fatalement, politiquement correct et bien-pensance nous conduisent, via l'auto-censure, au "novlangue" cher à George Orwell : " Le novlangue était destiné non à étendre, mais à diminuer le domaine de la pensée, et la réduction au minimum du choix des mots aidait indirectement à atteindre ce but. " L B
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Ci-contre, un exemple de Politiquement correct révisionniste qui se retourne contre les déboulonneurs ethno-masochistes, adeptes d'autoflagellation et de genuflexion !
L'épicier des "Simpson" est sur le point de disparaîtreSÉRIES - Le Kwik-E-Mart pourrait fermer définitivement ses portes. Apu Nahasapeemapetilon, l'épicier indo-américain des " Simpson" va disparaître de la série. Figure incontournable du dessin animé, il devrait entraîner avec lui sa femme Manjula et leur famille nombreuse (d'octuplés). Dans une récente interview accordée à IndieWire, le producteur d'origine indienne Adi Shankar se confie sur l'avenir du personnage.
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